Le système : Voir le danger et l'ingnorer !

“Préserver la cohésion de l’armée, dans toutes ses composantes, un impératif absolu…”. Tout le monde en parle. S’il faut la préserver, c’est qu’elle est menacée ! Ce qui se confirme lorsque l’ancien président de la république, Mr Liamine Zeroual, écrit : « Malheureusement et tout récemment, l'institution militaire s'est vue exposée à une regrettable diatribe dont la finalité n'est autre que celle de fragiliser de nouveau l'appareil national de défense et sécurité nationales et d'ouvrir ainsi la porte aux multiples dangers qui guettent l'Algérie. ». Les mots sont forts, ils ne peuvent désigner qu’une intelligence traitresse contre la Nation et la Patrie.

Pourtant « ils y vont » tous. Ils veulent que ces élections se tiennent et soient « crédibles ».

L’hallucination est totale ; elle est même au degré de l’illumination, du délire ! Le système a ses voies que la raison ne saurait saisir !

Devant tant de désinvolture et d’aventurisme les responsabilités des dynamiques citoyennes naissantes grandissent. Un impératif s'impose  il est de forger l’union de tous les républicains et démocrates qui reconnaissent la légalité issue du Congrès Nationale de la Soummam et qui s’engagent pour l’édification d’une seconde république qui fera que tous les citoyens seront égaux dans la Res Publica et que tous les individus seront protégés et totalement libre dans la Res privata.

S’ils brulent quelque chose, ils ne bruleront que leurs salons jusque-là feutrés et cossus. Le génie du peuple algérien ne sera pas pris au dépourvu ! #BARAKAT !

Comments

[si hadj]

le peuple est ignoré, il ne faut vous en prendre qu,a vous-émes. Mais ou etiez-vous mon colonel Mesbah. il ya dix ans?

[Abdou]

Bouteflika se maintient grâce à la corruption. C’est en substance le message qu’a livré, l’ancien Premier ministre Ahmed Benbitour
« Il existe aujourd’hui une grande caste qui profite de la corruption, du gaspillage, de la mauvaise gestion et des immenses programmes d’investissements dont la source principale de financement sont les hydrocarbures. Ces gens ont intérêt que l’actuel président reste au pouvoir pour un quatrième et cinquième mandat, voire y rester à vie », a en effet estimé l’ancien responsable qui a été plusieurs fois ministre avant d’être nommé, par Bouteflika, Premier ministre au début des années 2000.
Ahmed Benbitour estime que l’actuel chef de l’Etat doit comprendre que «son intérêt et celui du pays est dans son départ avant que l’on arrive à l’irréparable». Il a donné comme exemple la situation de ce qui s’est passé en Libye et en Syrie.
L’ancien premier ministre, qui ne veut pas s’avancer sur les élections de 2014, est convaincu que dans quelques années, l’Algérie n’aura pas de véritable Etat. « Ce sera la déliquescence » comme ce fut le cas au Liberia durant les années 1980, a-t-il prévenu.
Depuis son départ du gouvernement en 2001, Ahmed Benbitour ne rate jamais une occasion pour tirer à boulets rouges sur l’actuel chef de l’Etat et sa manière de gérer l’Etat. Benbitour s’est retiré de la course électorale, après avoir compris que nul n’arrivera à la présidence à part le président actuel, dont les dés ont été jeté depuis quinze années. Yacef Saadi, qui c’est fait grader colonel de la zone autonome d’Alger durant la Révolution, a déclaré cette semaine que lorsqu’il c’est rendu chez Bouteflika en Avril 1999 le féliciter de son accession au pouvoir, Bouteflika lui a répondu qu’il ne bougera plus jamais de la Présidence. Le 17 avril est encore loin et nul ne prédit ce qui va se dérouler.